Braem a terminé ses études d'architecture à l'académie d'Anvers. Il a ensuite effectué un stage auprès de l'architecte français Le Corbusier.
En 1968, il publie le livre "Le pays le plus laid du monde". Il y critique l'urbanisme et son absence en Belgique. Plus tard, il se consacre également à la peinture et à la sculpture. Il a également cofondé plusieurs magazines d'architecture et expositions.
Pour les maisons privées, le lien entre l'architecture et la nature était primordial pour Braem. Cette maison est un bel exemple de la conception organique de Braem.
On appelle aussi Braem "l'architecte des pauvres". Les zones résidentielles et leur aspect social étaient importants pour lui. Il aimait également expérimenter les techniques et les matériaux. À cet égard, Braem était souvent progressiste pour son époque.